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The Adelaide Steamship Company Ltd, first owner of the M/V Moonta

The Adelaide Steamship Company, the first owner of the Moonta, was one of Australia’s largest shipping companies and one of South Australia’s most successful commercial ventures.

The wool, wheat and mineral trade made South Australia a rich part of the British colonial empire in the 19th century. Commodity exports were booming, but their shipment from South Australia was long hampered by the small size of the shipping companies and inter-colonial rivalries.

The flag of the company

In 1875, a group of pastoralists and businessmen took it upon themselves to tackle the problem head on and created the Adelaide Steamship Company. Its creation was aimed at ensuring the transportation of their products as well as to make a profit from the freight.

 

A passenger transport service was also created (often by mixed liner) to facilitate the movement of people on this immense continent almost devoid of efficient land communication routes.

A publicity in an Adélaïde newspaper in 1882

For more than 100 years, the Adelaide Steamship Company’s fleet would dominate the transportation of passengers and goods over a wide area of Australia stretching from the city of Darwin to Townsville. The Company employed nearly 800 seamen at its peak.

During wartime the company’s ships were requisitioned for world campaigns (troop transport, armaments, hospital ships) and in peacetime they offered many Australians the trip of a lifetime.

The Wandilla - Hospital-ship

For more than 50 years, from 1910 to 1960, the “Gulf trip” on the ships of the Adelaide Steamship Company was a unique way to discover the south of Australia. This trip became mythical because it inaugurated the concept of cruising where liners were still considered as simple means of transportation. Very early on, the company based its advertising on the pleasure of the trip rather than on its simple utilitarian aspect. The circular route of the “Gulf Trip”, allowed to come back to its starting point after a 6 days cruise for a very advantageous rate.

M/V Minnipa
The Morialta
Le Moonta

The company’s ships, including the MOONTA, were extremely popular with newlyweds, for whom the Gulf Trip ships offered the opportunity for a cheap honeymoon. The seven-day trip cost £6 in 1939. The motto of the Adelaide Steamship was a program in itself: “Festina lente” (hasten slowly)

Ships like the Minnipa, Moonta and Morialta provided many Australians with the romantic and unforgettable setting for this moment in their lives. Today in Australia, one does not count any more the number of children who were conceived during this voyage and on board one of the small liners of the company.

The memory of the Moonta is still very vivid today, as shown by the attachment of many Australians to this ship. 

The building of the company in Adélaïde

 

During the interwar period, the company was at its peak. In addition to the renewal of its Gulf Trip ships, it ordered two larger liners which undoubtedly became the flagships of the fleet: the Manunda and the Manoora.

Its fleet was also composed of a myriad of cargo ships of varying sizes.

The Manoora
The Manunda

 

 

At the beginning of the 1950s, the development of land transport was going to compete with the passenger ships of the company which reduced this branch of its activity by disarming and selling the Moonta in 1955.

On January 1, 1964, its fleet was merged with that of McIlwraith McEacharn Ltd. in a new company named Associated Steamships Ltd. The Adelaide Steamship Company held 40% of the shares of the new company.

This new company innovated again by developing and fitting out in 1964 the first container ship built in the world: the MV Kooringa.

The MV Kooringa

In 1977, following financial setbacks and risky investments, the Adelaide Steamship Company decided to withdraw its interests from the conglomerate, retaining only the tug and tow operations.

The Adelaide Steamship Company was at that time one of the oldest industrial companies in Australia. It changed its name in 1997 to Adsteam Marine Ltd, keeping in its new logo the red eight-pointed star of the former name.

In 2006, the company was acquired by the largest shipping company in the world: AP Moeller Maersk. Today, all that remains of the Adelaide Steamship Co Ltd are yellowed photos, souvenirs… and a liner that has been stranded for more than 50 years on a beach in the south of France…

                        Alba Olivier

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De bien belles journées du patrimoine 2022

Les journées du patrimoine  des samedi 17 et dimanche 18 septembre 2022, ont été l’occasion d’une présence en force de l’Association des Amis du Moonta-Lydia à bord du paquebot.

Pour tenir bon face à l’abordage de presque 2 000 passagers durant le Week-end, l’association avait organisé un roulement par demi-journée pour se repartir les différents postes à bord à savoir: le Stand de l’association au niveau du grand escalier, la buvette sur la plage avant, ainsi que l’organisation des deux visites guidées journalières.

Ces deux visites guidées ont eu beaucoup de succès au point que celles de l’après-midi ont rassemblé pas moins de 80 personnes qu’il a fallu piloter dans le navire. Heureusement celles du matin se faisaient de manière plus “intimiste” même si il y avait pas moins de 30 à 40 passagers.

Cette croisière immobile d’une heure et demi, se proposait d’emmener ses passagers d’un jour dans le temps à travers la formidable destinée d’un paquebot presque centenaire.

Surprise pour ces visiteurs, la visite guidée se terminait par l’ouverture exceptionnelle de la timonerie, où le président de l’association se proposait de prendre en photos ceux qui le désiraient à la barre du Lydia. Un souvenir inoubliable.

Les visiteurs pouvaient en outre, à l’issue de la visite, se procurer le livre qui retrace l’histoire du paquebot et se le faire dédicacer par l’auteur pour prolonger l’expérience.

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le Samedi soir a été l’occasion de se retrouver dans le calme pour la traditionnelle AG de l’association.

Au milieu de la visite, les passagers pouvaient se rafraîchir à la buvette de l’association et ainsi participer à la réalisation de nos missions dont celle qui consiste à acheter, parfois à l’autre bout du monde, les objets historiques en lien avec l’histoire du “Paquebot des sables”. C’était aussi et surtout l’occasion de discutions plus intimistes où tout un chacun pouvait poser ses questions ou raconter une anecdote personnelle sur un évènement qu’il avait vécu à bord du Lydia.

Pour conclure un grand merci à tous qui, par leur investissement, ont rendu ces journées possibles et on vous dit d’ores et déjà:

“Bon vent et à l’année prochaine!!”

L’AAML

A . A . M . L

Association des Amis du Moonta-LYDIA

L’Association des Amis du Moonta Lydia a été crée en 2015. C’est une association loi 1901 à but non lucratif dont l’objectif est de contribuer à la préservation, la sauvegarde du patrimoine matériel, historique et culturel du paquebot LYDIA ex-MOONTA, ensablé à vie au Barcarès (Pyrénées-Orientales, France).

 

Nos missions :

-Assurer la promotion du Lydia (réception de journalistes, site internet, support divers de promotion)

-Collecter les objets, documents divers et témoignages en lien avec l’histoire du “Paquebot des sables”.

-Fournir une assistance technique et historique en vue de la restauration intérieure et extérieure.

-Organiser des expositions à bord et/ou en lien avec le Lydia

-Organisation de conférences,visites guidées

-Participer au développement d’une muséographie autour du « Paquebot des sables »

Pôle modélisme afin de réaliser des maquettes/ Modèles réduits du Lydia (et pas que…)

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Journées du patrimoine des 17 et 18 septembre 2022

A l’occasion des journées du patrimoine 2022 (samedi 17/dimanche 18 septembre), L’association des Amis du Moonta-Lydia sera heureuse de vous accueillir à bord du Paquebot des sables.

A cette occasion deux visites guidées gratuites seront organisées par l’association chaque jour: La première le matin à 10 h, la seconde l’après-midi à 15h30.

Vous pourrez aussi en profiter pour vous faire dédicacer le livre retraçant l’histoire du Lydia, échanger avec nous au stand, ou encore autour d’un verre à la buvette de l’association.

Horaire: 8h/12h – 14h/17h20 (dernière montée).

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Dimanche 11 juin 1967

Le dimanche 11 juin 1967 au petit matin, Le Lydia est en vue de sa dernière escale.

Au nord se dessine dans le petit jour la falaise de Leucate tandis qu’apparaît face à lui une bande de sable basse, déserte et battue par les vents : son ultime port d’attache.

Le Lydia en vue du Cap Leucate- Crédit photo A.Parés
Le Lydia en vue du Barcarès- Crédit photo Semeta

Dans les semaines qui précédaient l’opération de mise à terre du paquebot, il avait fallu préparer le terrain, c’est à dire faire creuser par une drague flottante, un chenal de 600 m de long et 7 m de profondeur. Pour amener celle-ci de l’étang de Salses à la mer, on a fait lui fait donc parcourir  750 m sur le sable, sur des boudins gonflés d’air.

La drague traverse depuis l'étang tractée sur de boudins d'air
La drague creuse le port artificiel qui accueillera le Lydia - crédit photo A.Parès

Parti de Marseille la veille et accompagné de deux remorqueurs (le Provençal 6 et le Phocéen ), le Lydia arrive en vue du Barcarès  le dimanche 11 juin 1967 au petit matin. 

 

Première étapes de l’échouage, des câbles sont fixés à la proue du paquebot, puis fixés à terre à de puissants engins de chantier, tandis que les remorqueurs se fixent à l’arrière du navire afin de maintenir l’axe du chenal. La Tramontane, tout de même un peu forte, ne facilitant pas les opérations

 

Enfin, les engins de chantier se mettent à tirer le paquebot. 

 
Le Lydia est maintenu dans son chenal par les remorqueurs et il est tracté par les engins de chantier

Bien aligné face au chenal par la poussée des remorqueurs, le Lydia avance doucement entre les bouées qui marquent les limites du chenal d’accés. Une élingue se rompt soudain sous l’effet du vent et le navire se met à dériver, risquant de s’échouer. Sur la plage la tension est extrême tandis que les deux remorqueurs interviennent pour le remettre dans l’axe. Plus de peur que de mal mais lorsque le sénateur se retourne, autour de lui tous les ingénieurs étaient livides. Fausse alerte !

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Crédit photo – A.Parès

Les opérations ne sont néanmoins pas terminées. Mètre après mètre, Le Lydia pénètre à l’intérieur des terres suivi comme son ombre par le Provençal 6. Malgré quelques frayeurs dues essentiellement à la Tramontane qui ne faiblit pas, le Lydia s’immobilise à l’emplacement prévu, et le Provençal 6, peut décrocher sa remorque et regagner avec la pleine mer.

Crédit photo – A.Parès

 

Les techniciens qui commandaient la manœuvre, n’en ont pas fini pour autant. Le Lydia flotte à cent mètres à l’intérieur des terres certes, mais plusieurs opérations successives doivent encore le faire pivoter, puis le surélever pour amener la ligne de flottaison au niveau de la plage soit 3 mètres au-dessus du niveau de la mer. Enfin, il s’agit de l’immobiliser définitivement dans son lit de sable. Le planning prévoit que l’échouage sera achevé le 30 juin.

Les bulldozers entreprennent d’abord de combler le chenal et de refermer le port pour isoler le Lydia de la mer, ce qui est terminé deux jours plus tard. La drague, qui joue le rôle de pompe géante, intervient alors et comble une partie de ce qu’il reste du petit port remplaçant l’eau par le sable. 

Crédit photo – SEMETA

Phase suivante : une digue de sable, recouverte de bâches de plastique, est élevée tout autour du lit du Lydia.

Crédit photo – A.Parès

La drague y déverse bientôt des centaines de mètres-cubes d’eau et le Lydia s’élève peu à peu, comme dans un sas d’écluse. Sa ligne de flottaison est à présent au-dessus du niveau de la plage et il peut être lentement amené par les bulldozers à la verticale du berceau qui lui a été confectionné. Il suffit dès lors de pomper l’eau pour qu’il vienne délicatement s’y poser.

Crédit photo – SEMETA

Au final, la drague et les bulldozers feront enfin disparaître toute trace du port.

Crédit photo – SEMETA

Crédit vidéo: France 3 – Pays catalan

Le «Paquebot des sables» est né!

Crédit photo – SEMETA

Bientôt une armée d’artisans va prendre le navire à l’abordage pour le transformer en palais du tourisme mais ça, c’est une autre histoire….

                                                Olivier Alba

Festival du Polar et de l’Aventure 2021

Un nouvel équipage d’auteurs prestigieux montera à bord du Lydia du 24 au 26 septembre 2021.

Le festival « Méditerranée Polar et Aventure » présente sa 5ème édition, exceptionnellement programmée au mois de septembre pour les raisons sanitaires que l’on connait.

Créé par la ville du Barcarès et le Centre Méditerranéen de Littérature, en partenariat avec le magasin Cultura, le festival regroupera cette année une trentaine d’auteurs de polars et de littérature de l’imaginaire parmi les plus prestigieux du moment.

Conçu comme un carrefour littéraire, cet événement a pour ambition de faire découvrir à chacun de nouveaux genres et de de nouveaux auteurs tout en permettant aux passionnés de rencontrer leurs écrivains favoris.

Et des échanges, il y en aura ! La conférence de deux Prix Méditerranée Polar, Fabio Mitchelli, lauréat 2021 avec « Le loup dans la bergerie » (Ed. Robert Laffon) et Fabrice Papillon, qui a obtenu le prix l’an dernier pour « régression » (Ed Belfond), mais aussi « Les auteurs à la barre », des tables-rondes en toute simplicité : Le public pourra y échanger avec les écrivains.

 

Les auteurs seront bien sûr disponibles pour dédicacer leurs ouvrages tout au long du festival.

A noter que vous pourrez aussi trouver au sein du festival le Livre dernièrement paru sur l’histoire du Paquebot des sables et vous le faire dédicas

Et des échanges, il y en aura ! La conférence de deux Prix Méditerranée Polar, Fabio Mitchelli, lauréat 2021 avec « Le loup dans la bergerie » (Ed. Robert Laffon) et Fabrice Papillon, qui a obtenu le prix l’an dernier pour « régression » (Ed Belfond), mais aussi « Les auteurs à la barre », des tables-rondes en toute simplicité : Le public pourra y échanger avec les écrivains.

Les auteurs seront bien sûr disponibles pour dédicacer leurs ouvrages tout au long du festival.

A noter que vous pourrez en profiter pour acquérir à cette occasion le livre récemment paru sur l’histoire du Paquebot des sables et vous faire dédicacer l’ouvrage par son auteur qui sera présent à bord.

JEP-2021

Journées du patrimoine 2021

Comme chaque année, l’association des Amis du Moonta Lydia se trouvera à bord du Paquebot des sables  durant les deux journées consacrées à la découverte du patrimoine. C’est l’occasion pour vous de nous rencontrer, échanger et découvrir le Lydia sous un autre angle.

Cette année en outre, vous pourrez acquérir le livre édité par la municipalité sur l’histoire du paquebot et vous le faire dédicacer par l’auteur, Olivier Alba, président de l’association. (en vente sur le paquebot pour la somme de 19 €

Au plaisir de bientôt vous rencontrer….

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Les “vies du Lydia” depuis son arrivée. Episode 5: Le groupe Partouche. La fin de l’ère des casinotiers.

ÉPISODE 5: Le Groupe Partouche. 

    La fin de l’ère des casinotiers

             (2000/2010)

 Alors que le XXI ème siècle pointe le bout de son nez, le Lydia n’est plus que l’ombre de lui-même. Le casino est fermé, l’entretien se résume à un blanchiment à la va-vite tous les mois de juin, les embruns et l’humidité favorisent la prolifération des points de rouille et le bois est mangé par les champignons. C’est dans cette atmosphère de fin de règne que le Paquebot des sables va encore faire parler de lui. 

En effet, en 2000, le groupe Partouche, premier groupe de casinos en France va acquérir le Lydia en vue d’y rouvrir un énième casino. C’est chose faite au mois de mars de la même année. La société Lydia Invest, dont le paquebot est l’un des actifs, est acquise pour l’euro symbolique, à charge pour le groupe Partouche d’éponger les dettes qui s’élèvent alors à 20 millions de francs (source journal l‘Indépendant). Rapidement un directeur est nommé et le fondateur du groupe, Isidore Partouche, rend même une visite à son 50 ème futur-ex casino. 

Lors de son arrivée, madame Partouche ne peut retenir un cri d’horreur “Isidore, tu n’as pas acheté ça !”. C’est dire l’état dans lequel se trouve le Paquebot, silhouette fantomatique dressée sur une plage désertique.  

Néanmoins un dossier de réouverture du casino est déposée auprès du ministère de l’Intérieur.

Le pont des "embarcations" vu depuis la timonerie (année 2003) Source crédit-photo :Site ministère de la culture
 

Quatre ans vont s’écouler pendant lesquels rien n’est fait à bord ou presque. Pire encore, le nouveau responsable découpe et saccage des pans entiers du navire: Le mât arrière est retiré, ainsi que les bras des mâts de charge. Sur le pont des embarcations, on disque à l’envie les bossoirs et bers donnant un aspect fantomatique et vide à la silhouette déjà fort amochée du Lydia.

Bref le paquebot se transforme en jouet de baignoire. Un décor. Beau de loin mais loin d’être beau.

Les bossoirs et bers d'embarcations ont été découpés ! (année 2003) Crédit photo: site du ministère de la culture

Au bout de quatre ans, en février 2004, et après trois demandes infructueuses, le casino obtient enfin son autorisation d’ouverture.

Las. Il faut ouvrir pour la saison et à bord tout reste à faire, on va confondre une fois de plus vitesse et précipitation. Certes la coque est entièrement sablée permettant de retrouver le métal sain sous 30 couches de peintures et l’on change l’enveloppe de la cheminé complètement pourrie.

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Las. Il faut ouvrir pour la saison et à bord tout reste à faire, on va confondre une fois de plus vitesse et précipitation. Certes la coque est entièrement sablée permettant de retrouver le métal sain sous 30 couches de peintures et l’on change l’enveloppe de la cheminé complètement pourrie.

Mais on va faire aussi n’importe quoi. Ainsi les bois vont être  sablés à l’envie, les endommageant irrémédiablement. 

Pire encore, on va recouvrir les pont de lames de terrasse en bois pour “faire propre” et blanchir entièrement le paquebot, lui donnant la triste allure d’un navire-hôpital. Les fenêtres et portes sur le pont des “embarcations” sont condamnées.

Blanc et rien que blanc: Le navire fantôme

A l’intérieur pas grand chose de mieux: Rien à voir avec une ambiance paquebot “années folles” et les trois-quarts du Lydia restent à l’état de ruine.

 D’origine subsistent encore le social hall, l’escalier et le fumoir qui accueillent le restaurant.

Le restaurant sur le pont "promenade"
Le social hall
Le fumoir
L'escalier

La discothèque reçoit une nouvelle décoration. 

On organise des thés dansants

En fait quand on fait mal, on ne va pas très loin. C’est en substance ce qui va se passer. Aprés quelques années d’exploitation le restaurant inexplicablement ferme alors que son succés ne s’était pas démenti.

                            Les néons à même la coque, du grand n’importe quoi !

En 2008, l’ouverture d’un casino à Port-Leucate, ainsi qu’une mauvaise gestion vont faire sombrer  le paquebot. Au bout de seulement 4 ans, le casino-discothèque va fermer, une fois de plus. Il s’endort alors pour une période de trois ans pendant lesquels aucun repreneur ne se présente pour y exploiter un énième casino …

Après quatre échecs successifs personne ne veut plus tenter l’aventure.

                                                                                Olivier Alba

Pour consulter l’épisode N°4, c’est : ICI

Pour consulter l’épisode N°3, c’est : ICI

Pour consulter l’épisode N°2, c’est : ICI

Pour consulter l’épisode N°1, c’est : ICI